« Économiser sur le dos des associations et de l’intérêt général : un rapport de Bercy préconisait de limiter les incitations fiscales à la générosité »
Le secteur associatif, une source d’économies potentielles aux yeux de l’Etat ?
C’est en tout cas la vision que semble porter un rapport de l’Inspection Générale des Finances (IGF) et de l’Inspection Générale de l’Education, du Sport et de la Recherche (IGéSR) qui a été remis au Premier Ministre au mois de mai dernier.
Dans un contexte d’arbitrages budgétaires et en vue de la présentation du Projet de Loi de Finances (PLF) 2026 à l’Assemblée nationale, la piste d’une réforme de la fiscalité du don et du mécénat est envisagée. A la clé, une économie globale espérée, pour le gouvernement, de 930 millions d’euros[1]. Un coût financier, social et humain bien plus grand pour le secteur associatif.
Décryptage complet du rapport et de ses impacts potentiels pour la générosité ici
enfance, solidarité internationale, santé, environnement, recherche médicale, insertion sociale, lutte contre la précarité...